Vers l'automne de 1830, par une soir e froide et pluvieuse, une chaise de poste, qui suivait la route d'Angers Nantes, quitta brusquement le grand chemin pour prendre un sentier enfonc dans les terres. Il faisait une affreuse nuit. Le vent sifflait travers les arbres; les rameaux d pouill s craquaient; les orfraies criaient dans le creux des ch nes. chaque instant, les chevaux, d courag s, refusaient d'avancer; le postillon jurait, et la chaise,...