A l'epoque ou les premiers editeurs commencaient a recueillir les oeuvres de Platon, circulaient sous le nom du philosophe bon nombre de dialogues dont personne n'admettait l'authenticite: deja Diogene Laerce citait une douzaine de textes figurant dans la collection platonicienne, mais d'evidence d'une main autre que celle du maitre. Leur attribution varie, mais tous sont regardes soit comme suspects, soit comme apocryphes. Ils font partie des nothoi,...