L'emigration a aussi ce pouvoir d'adjoindre le familier et ce qu'on ne voit qu'au terme. Alors remonte ce qui mine dedans et rend le desequilibre fecond. J'ai aime Bonampak et cette pause offerte. J'ai contemple le lieu, les pierres ombrees de palmes ou se dessinent les glyphes. J'ai laisse se decoudre ces morceaux arraches, comme des bouts de tissus, comme des bouts de paroles. Lambeaux abandonnes ou blocs trop compacts qui veulent transmettre encore...