Les faits sont les faits, la v rit sur les Khazars est un pamphlet se pr sentant comme le texte d'une lettre qu'un homme d'affaires juif, Benjamin H. Freedman, a crit un m decin "converso", David Goldstein, en 1954. Cette lettre d fend l'id e selon laquelle le christianisme est une r alit du juda sme. Le texte expose la notion selon laquelle la plupart des individus d sormais identifi s comme juifs, ne sont pas le peuple s mitique isra lite de la Bible, mais les descendants des Khazars, un peuple turcophone d'Asie centrale converti en masse au juda sme au 8 me si cle. Freedman ne se r f re pas aux Juifs, mais des soi-disant Juifs.N dans une famille juive ashk naze, Benjamin H. Freedman se convertit au christianisme et devient un virulent orateur, conf rencier et pamphl taire antisioniste et critique du juda sme. Il fut l'assistant de Bernard Baruch la campagne pr sidentielle de 1912. Il assistait r guli rement des r unions avec le futur pr sident des tats-Unis Woodrow Wilson au sein du Comit d mocratique national o il croisa galement Samuel Untermyer. Il aurait t pr sent parmi la d l gation envoy s par les milieux sionistes lors de la conf rence de Versailles qui devait aboutir au trait afin de veiller aux suites de la d claration Balfour de 1917. Parmi ses relations, on peut citer Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy et son fils John F. Kennedy ainsi que d'autres personnes influentes telles que Haroldson Lafayette Hunt, Jr. et son fils Nelson Bunker Hunt.En 1946, il fonda la Ligue pour la paix et la justice en Palestine .
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