« Je dois d'abord vous dire, chers lecteurs, dans quelles circonstances, vers la fin de l'ann e 185., je fis la connaissance de sir John Canon, le commandant du Fire-Fly.
J' tais depuis plusieurs mois Saint-Denis, la capitale de l' le Bourbon, me reposant d'un p nible voyage Madagascar, dont j'ai racont les p rip ties dans un autre ouvrage, lorsque le ciel m'envoya cette bonne fortune, bien temps, du reste, car un plus long s jour dans la colonie fran aise ne pouvait tre de mon go t.
Que voulez-vous ? Je ne trouve rien de triste parcourir, comme ces pays n s d'hier, qui n'ont pas v cu, o l'imagination ne peut voquer aucune ombre du pass , aucun souvenir de grandes et nobles choses, et j'en avais eu bient t assez des parties de chasse dans la plaine des Palmistes et aux Mornes, ainsi que des courses Saint-Paul et Saint-Pierre...