" Parce qu'il venait d'achever ses cinq ans, Pierre Leroc se croyait homme, c'est- -dire libre, le soir, apr s le travail, de sortir seul, de jouer aux cartes en prenant quelque chose, en racontant des souvenirs du r giment, et de rentrer tard, l'heure o les chiens, qui sont enrag s, courent par les rues d sertes, cherchant des os, la queue arqu e entre les jambes. Doux au fond et docile, il n'avait gu re que ce d faut de vouloir faire l'homme,...