Les statues des h ros du pass s'irisaient comme des dieux pour saluer les vivants, tous humains, tous trop jeunes. C'est cela qu'elle pensait en les voyant. Le temps avait au mieux transform ses amis humains en statues; de ses anciens camarades les Baroclytes il ne restait que les cendres d'une civilisation. Les h ros qu'elle v n rait aujourd'hui taient jadis des tra tres dont les tombes arboraient de p les crits: Ceci est le ch timent des infid...