Les soci t s comme les individus se ressemblent, quelles que soient leurs latitudes respectives. Tout comme Brassens, je combats ma soci t dans ce qu'elle de vil et d'inhumain. Alors, comme dirait l'autre: "mon vieux, la sir ne dont il est le fid le serviteur continue exercer ses ravages; cette fois, un jouvenceau de mes amis a t hypnotis par son chant (Le d froqu ). Cela me donne donc toutes les excuses, et tout le courage aussi, d'aborder...