"... Villon, ce fils de f e, il va et vient dans les galeries. Il convoque par devers lui ce peuple des peuples: ceux qui furent et ceux qui sont, certes bien gaux et pareils dans leurs os. L , les filles folles; et les rois, et les reines; et les riches, toujours avares; et les pauvres, toujours avides; et les magistrats qui jugent, et qui trichent toujours avec le juste; et les violents qui font le mal, et les faibles qui le subissent. Et les po tes, puisqu'il en est enfin, qui sont tout, la fois, violents et faibles, riches et pauvres, reines et rois; et m me juges, quand la manie les prend..."