Un homme continue de vivre, d' tre l , devant une table, regarder dehors les modifications de la lumi re sur la Seine.
Il continue d' crire, d'aimer.
Parce qu'il le faut.
Sa voix se m le une autre.
C'est pour elle qu'il continue. D' crire, d'aimer.
Alors il ob it toujours cette seule pens e de l'unique amour.
De personne. De Dieu.
De tout un chacun.
Les deux voix s' changent dans la relance du d sir.
Au croisement des regards un sourire appara t. Comme la fleur de l'amandier au printemps.
L'amour se fera.
Ainsi.
" Le sourire de la premi re fois, et alors a recommence.
Quoi, la vie,
les larmes en moins,
la mort repouss e,
la souffrance en retrait.
Quoi encore de la vie.
La joie. "